Un rêve est considéré comme "récurrent" dès qu'il se répète plusieurs fois par an, par trimestre, par mois, par semaine avec un thème identique, par exemple un rêve de chute ou un rêve de poursuite, seuls les éléments du scénario varient.
Quand le thème du rêve n'est pas associé à des peurs ou des angoisses post-traumatiques puissantes de la vie éveillée, il semble qu'il ait deux raisons d'exister
A - Il découle de chagrins ou d'effrois, ordinaires mais importants, et illustre un point de l'histoire du rêveur qui n'en a pas toujours connaissance dans le conscient.
B - Il invite le rêveur à s'engager dans une direction qui va à l'encontre de ce que son environnement à prévu pour lui.
Quand le thème du rêve est lié avec un événement traumatique et qu'il y a séquelles,
il se répète au point d'encombrer le rêveur qui a l'impression d'être condamné à revivre son trauma en cinémascope et à l'infini. Le recours à des médecins spécialistes - neurophysiologue ou neuropsychothérapeute - est obligé. Car, lorsqu'un individu s'est confronté à une situation extrême, s'en "être sorti" signe rarement sa libération psychique.
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mandalas en pagaille
Rappel: Tout ce que l'on croit être des rêves n'est pas interprétable. Qu'entend-on par "tout ce que l'on croit être des rêves" ? Le cerveau, au début du sommeil, reçoit des flux d'images que l'on appelle "images hypnagogiques", que beaucoup confondent avec un songe alors qu'elles se sont que le reflet des tracasseries personnelles, des activités naturelles du corps, fatigue, dérèglement ponctuel, digestion,... Ils peuvent être aussi en résonance avec un environnement agité, bruits extérieurs, soucis, conflits.
Ces images sont laissés de côté et nous ne retenons pour l'interprétation que le rêve-songe lui-même catégorisé en différents genres.
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